5 politiques qui ont fait de la chirurgie esthétique

Qu’ils soient en campagne présidentielle , à la tête d’un Etat ou encore députés, les femmes et les hommes politiques connaissent tous les enjeux de l’image qu’ils renvoient.

Du coup, certains ont eu recours à la chirurgie plastique. Voici 5 exemples de politiques qui ont subi une intervention de chirurgie esthétique.

1.Ségolène Royal
segolene royal chirurgie esthetique
La candidate socialiste aux élections présidentielles de 2007 a visiblement consulter un chirurgien esthétique pour refaire son nez, son menton et un dentiste pour améliorer sa dentition. Nous espérons pour elle que le prix de sa chirurgie esthétique fut abordable.

Remarquée récemment pour son soutien à Jean-Luc Mélenchon pour la présidentielle 2022, Ségolène Royal semble également avoir fait un lifting de rajeunissement. Un lifting chirurgical ou par fils tenseurs, c’est ce qui apparait quand on voit son visage lisse et visiblement plus jeune notamment sur le plateau de l’émission En Toute Franchise sur LCI.
Et comme souvent les personnes qui font une opération de chirurgie esthétique pour rajeunir, l’ex du président François Hollande a également amélioré l’apparence de ses dents et donc de son sourire visiblement grâce à des facettes dentaires .

Depuis la rentrée 2023, Ségolène Royal est chroniqueuse dans TPMP de Hanouna. La preuve que le recours à la chirurgie esthétique était bien liée à des objectifs d’image et de visibilité?


2.Silvio Berlusconisilvio berlusconi chirurgie
Feu l’ancien président du conseil italien n’avait pas supporté de perdre ses cheveux. Dans cet avant-après très éclairant, on peut voir que Berlusconi a eu recours aux implants capillaires.

Hasard ou ironie de l’histoire, le traitement de la calvitie par la greffe de cheveux était l’une des spécialités de Jérôme Cahuzac, dont le destin judiciaire fut assez semblable à celui du président de l’AC Milan.

3. Cristina Kirchner
chirurgie esthetique cristina kirchner
Son nom de famille ne traduit pas forcément son lieu de naissance et de vie.Cristina Kirchner est argentine et même la première des argentines puisqu’elle fut présidente de son pays jusqu’en 2015.

Les médias argentins et sud américains pensent qu’elle a fait quelques interventions. Les « antes y despues »(traduction espagnole de notre célèbre avant-après français associé à la chirurgie) sont nombreux à son sujet.

Incarner la vitalité, le renouveau et la modernité d’un pays qui s’est choisi une femme pour le diriger nécessite certainement quelques séances d’injection de botox, un lifting du cou aussi peut-être.

4.Vladimir Poutine
injections botox poutine
Y a-t-il un lien de causalité absolu entre un état d’esprit autoritaire et la gestion méticuleuse de son image physique? C’est le sujet de réflexion que nous donne ces photos de Poutine. Lui aussi a visiblement fréquenté le cabinet d’un chirurgien pour dire stop à un début de calvitie et pour améliorer la mine générale de son visage.

Vous ne trouvez pas que son visage brille un peu trop,il doit y avoir du botox et de l’acide hyaluronique là-dessous.

On savait déjà que le maître de la Russie qui a attaqué l’Ukraine en février 2022 aimait montrer ses muscles, se montrer comme un grand sportif(à cheval notamment) on peut en conclure aisément qu’il a trouvé dans la chirurgie plastique un allié de poids pour rajeunir, embellir et formater cette image d’homme viril, énergique qui apparemment plait beaucoup aux russes et explique sa longévité à la tête du Kremlin.

5.Dominique Strauss-Kahn
strauss-kahn chirurgie esthétique
A la belle époque où il était en tête des intentions de vote des français à l’éléction présidentielle de 2007, Dominique Strauss Kahn avait subi une blépharoplastie pour traiter ses paupières tombantes. On ne peut pas être en charge de la cinquième puissance mondiale et avoir l’air fatigué de Droopy.

Direction du FMI, talent reconnu de grand économiste, candidat presque déjà gagnant aux présidentielles, tout était au mieux pour DSK….Jusqu’à l’affaire du Sofitel….

Comme quoi investir dans son image y compris en acceptant le petit stress du bistouri n’est pas toujours payant.