Femmes de footballeurs(Sujet léger)

On peut dire que le footballeur ( connu et riche et vice-versa) ne choisit jamais une compagne laide. Les femmes ou les fiancées de joueurs sont en général belles, sexy et ont une tendance irrépressible à se dénuder. En bref, le footeux est adepte de la bombasse comme la Formule 1 est consommatrice d’essence.

L’équipe de femmes de sportifs du ballon rond que vous découvrez ici traduit concrètement ce fait. A part, le gardien (pardon la gardienne) , la très appétissante Sara Carbonero, toutes les autres titulaires de ce 11 sensuel sont allergiques aux vêtements et préfèrent être à demi nues sans doute par contagion de l’effet short de leurs chers, opulents et tendres moitiés.

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Sont-ce des femmes objets ? Sans doute un peu. Mais peut-être sont-ce (oui sont-ce) Ashley Cole, Zambrotta ou Christiano Ronaldo qui le sont encore plus. A moins que leur union soit un lien de raison de celui qui dirait : on ne se mélange qu’entre gens beaux et connus pour se servir mutuellement de nos images.

Un genre d’aristocratie moderne qui vit de la lumière médiatique, des parasites paparazzés, des fans, de la publicité et qu’on voit dans de belles voitures, sur de beaux yachts, en flagrant délit de chirurgie esthétique ou encore (ouh) dans les bras d’un autre que celui ou celle qu’on lui connait, un autre plus beau, plus riche ou plus vrai.

Nouveaux « seigneurs » de l’image et modèles malgré eux qui semblent nous dire et surtout dire aux plus jeunes qu’entre des études à la con et le talent du ballon rond, le deuxième terme de l’alternative est plus juteux et plus rentable.

Mais c’est du Sartre mazette ! L’homme est un projet qui se construit. L’homme est celui qui dépasse et transcende le donné pour s’accomplir. Ils sont presque tous nés dans des familles pas gâtées par la vie, voilà que cette adresse sportive leur ouvre les discothèques, les restaurants chics et les cuisses de certaines belles de la planète quitte à ce que leur vie privée devienne définitivement publique. Un aléa qui est la rançon nécessaire du seul plébiscite qui compte dans ce monde : la notoriété.